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Actualités
Entrée de l’Etat dans le capital de Secca: Les termes de l’accord
Mansour Faye a renseigné que l’Etat participera dans les organes de Gouvernance de la Concession et bénéficiera du partage…
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Actualités
Alioune Tine : “Le Sénégal doit se laver, se purifier de ses péchés”
C’est l’avis du fondateur de l’ONG Africajom Center qui n’est pas loin de dire que le Sénégal est maudit.…
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Religion
141è édition de l’Appel de Seydina Limamou
Que chacun célèbre l’appel dans sa localité avec les guides religieux”, a instruit, Mouhamadou Lamine Lahi, porte-parole du khalife…
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Sport
Liste des Lions toujours attendue : Aliou Cissé dans l’imbroglio
Déjà qualifié pour la CAN 2021, qui aura lieu en janvier 2022 au Cameroun, le sélectionneur des Lions du Sénégal…
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Actualités
“Mon frère n’a pas été tué par la police…
Il s’appelle Mamadou Ndiaye. Frère de Cheikhouna Ndiaye, qui a été tué au rond-point Case-bi des Parcelles Assainies le 4…
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International
Nigeria : 180 élèves sauvés d’une attaque, 30 sont portés disparus
Nouvelles disparitions inquiétantes au Nigeria. Environ 30 personnes étaient portées disparues après l’attaque, jeudi soir, d’une école dans le…
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Actualités
Polémique sur le vaccin AstraZeneca: Le Sénégal ne lèvera pas le pied!
Malgré les alertes sur le vaccin AstraZeneca sur le plan international, le ministère de la Santé a décidé de ne…
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Non classé
Il prendra les commandes de l’armée dans quelques semaines…
A partir du 30 mars procian, le Général d’armée aérienne Birame Diop, jusqu’ici Chef d’Etat major général des armées (Cemga),…
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Non classé
« Dr Alex est un homme très simple, très cultivé, pacifique. Il portait toujours sa croix ansée (Ankh) et nous rappelait sans relâche les victimes du régime, disparues parfois dans des conditions abominables », témoigne un de ses compagnons de lutte passé lui aussi par les geôles du pouvoir. « Alexandre Dzabana cumule 50 ans de lutte dans la société civile. C’est quelqu’un qui n’a pas sa langue dans sa poche. Il avait commencé par s’opposer aux dérives autoritaires du marxime-léninisme dans les années 70. Plus récemment on dénonçait ensemble la pauvreté de la population et l’enrichissement illicite du clan au pouvoir et de certains dirigeants politiques. Malgré son âge et sa santé fragile, puisqu’il souffre d’hypertension, il était très engagé », abonde Joe Washington Ebina, président de la fondation humanitaire Ebina et membre de la Plateforme de la société civile. « Son arrestation a lieu un mois après celle du journaliste Raymond Malonga [directeur de publication de l’hebdomadaire satirique Sel-Piment, incarcéré le 2 février à la maison d’arrêt de Brazzaville, NDLR]. Il avait été enlevé lui aussi. Ce sont des pratiques qui ne donnent pas d’espoir sur la gestion du pouvoir à venir. » Et de louer, visiblement admiratif, la mobilisation populaire qui a pesé dans la libération sous contrôle judiciaire du député sénégalais Ousmane Sonko, ce 8 mars : « Le Congo est un pays particulier, où sévit la répression militaire, l’intimidation quotidienne. Aucune manifestation n’est autorisée. Ici, on a connu des guerres civiles, mais on ne voit pas le peuple se lever pour dire non. » Anciens candidats à la présidentielle toujours sous les verrous La société civile réclame notamment la libération de deux célèbres prisonniers politiques : Jean-Marie Michel Mokoko et André Okombi Salissa. Le premier, un diplômé de Saint-Cyr promu général, fut notamment chef d’état-major des armées congolaises entre 1987 et 1993, conseiller du président Sassou Nguesso sur les questions de sécurité et chef de mission pour la Centrafrique et l’Afrique centrale au sein de l’Union africaine. Candidat à la présidentielle de 2016, il avait créé un certain engouement durant la campagne électorale. Rebaptisé J4M, pour Jean-Marie Michel Mokoko « Moïse », qualifié de « tombeur », de « général du peuple » par la presse, il avait refusé ? et refuse toujours – de reconnaître la victoire de Denis Sassou Nguesso en 2016. Arrêté en juin 2016 puis condamné à 20 ans de prison le 11 mai 2018 pour « atteinte à la sûreté de l’État » et « détention illégale d’armes et munitions de guerre », il est actuellement à l’hôpital militaire de Brazzaville, selon son avocat Me Ibouanga. Sa santé s’était détériorée l’été dernier. Au terme de longues négociations qui avaient notamment convoqué, pour plaider la cause de Mokoko, les présidents de la RD Congo Felix Tshisekedi et de l’Angola Joao Lourenço, il avait été évacué à le 30 juillet 2020 à Ankara, pour y être soigné durant plus d’un mois. « Je l’ai rencontré la semaine dernière, il se porte bien. Il est enfermé 24/24, privé de la lumière du jour et a toujours besoin de soins pour retrouver sa forme musculaire. Il ne peut pas se mouvoir et n’a pas droit aux visites de parents et d’amis, ce qui est une torture psychologique. Mais il a un moral d’acier », résume son conseil.
Béret noir, costume blanc, sourire cerclé d’une barbe et d’une moustache grises? Le visage d’Alexandre Ibacka Dzabana, militant congolais…
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Sport
Annulation de la CAN U17 – Me Augustin Senghor : “Du gâchis pour cette génération”
Me Augustin Senghor a affiché sa déception après l’annulation de la Coupe d’Afrique des Nations des moins de 17…
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