
Dialogue national : Le symbole est fort. Le message est clair.
Le tout nouveau président de la BAD Banque Africaine de Développement n’a pas attendu une cérémonie officielle ni un protocole diplomatique. Il est allé saluer l’homme d’État qu’incarne aujourd’hui Ousmane Sonko. Ce geste n’est pas anodin : il est la reconnaissance, au plus haut niveau africain, de la stature nouvelle du Sénégal, mais aussi de la cohérence d’un leadership forgé dans la vision, l’éthique et la résistance.
De Ziguinchor à Dakar, et désormais d’Abidjan à tout le continent, Ousmane Sonko est devenu une référence africaine. Il incarne une gouvernance qui reconnecte les peuples à leur destin, une autorité fondée sur le service et non sur l’apparat, une vision économique enracinée dans la souveraineté.
Recevoir le président de la BAD, c’est plus qu’un honneur diplomatique : c’est l’écho naturel d’un leadership continental qui s’affirme.
Quand on incarne une rupture sincère, ce n’est plus le protocole qui nous définit, mais l’exemple.
Je formule ici mes vœux les plus sincères et les plus élevés pour vous, Monsieur le Premier ministre Ousmane SONKO.
Qu’Allah vous accorde Sa protection constante, vous éclaire à chaque décision, vous fortifie face aux tempêtes, vous guide dans la justice, vous garde dans la droiture, et vous entoure de conseillers loyaux et compétents.
Qu’Il fasse de vous un rempart pour le peuple, une lumière pour la jeunesse, et un héritier digne des espérances africaines.
Dénéba DIOUF